Vous avez peut-être déjà réalisé une ou plusieurs consultations diététiques sans nécessairement avoir la réponse ? Parce que voilà bien une question qui n’est pas seulement guidée par une réflexion sur votre alimentation et vos souhaits de maigrir. Mais manger autrement n’est-il pas une solution envisageable ? C’est ce que nous abordons dans ce sujet.
Manger autrement en adaptant son alimentation à ses besoins
Nous ne pourrons ici présenter tous les principes d’adaptation de l’alimentation dans le but de perdre du poids, en tout état de cause. La consultation auprès d’un nutritionniste ou d’une diététicienne s’impose à vous pour progresser. Vous pourrez avec intérêt, particulièrement dans le cas de maladies chroniques comme le diabète, aller consulter des médecins nutritionnistes spécialisés. Toutefois, voici quelques réalités auxquelles vous devrez faire face.
Soyez attentif aux rations et notamment aux quantités ingurgitées à chaque repas
Dans notre société moderne, les rations sont souvent trop importantes par rapport aux besoins. En cela, de manière tout à fait inconsciente ou guidée par l’industrie alimentaire (à grand renfort de la publicité en particulier), nous nous retrouvons toutes et tous avec des assiettes qui ne correspondent pas à nos estomacs. Si vous faites réaliser un bilan nutritionnel, vous pourrez objectiver les apports caloriques de l’alimentation quotidienne et même dans certains cas vérifier les aliments que vous conservez dans votre frigo. réapprendre à gérer les rations, c’est procéder souvent à la réduction quantitative de certains aliments contenant des graisses, des sucres rapides, mais aussi procéder à la modération des rations de féculents, des grignotages quotidiens, des sauces, des plats gras, du pain beurre que vous adorez au moment d’une collation avec du fromage, etc.
Limiter les graisses et adapter les glucides pour maigrir ?
Certaines graisses ont un effet néfaste sur votre corps. Certains plats cuisinés industriels, des viennoiseries aussi que l’on retrouve parfois chez le boulanger, des aliments panés ou certaines charcuteries ne sont pas conçus pour être ingérés régulièrement. Tournez-vous plus volontiers vers des graisses de type oméga 3 et 6 comme les poissons gras, les fruits oléagineux ou les huiles d’assaisonnement.
La charcuterie dans l’alimentation
Après, il vous appartient aussi en fonction de vos goûts de trouver les aliments les moins gras et / ou les aliments les moins caloriques dans les différentes catégories. La charcuterie dont nous parlions juste au-dessus par exemple. Tous les aliments en matière de charcuterie ne se valent pas en matière de calories et de graisses. Il existe des produits de charcuterie ayant de bons indices sur le plan diététique comme par exemple le Potjevleesch, certains jambons blancs ou encore certaines andouilles. À partir de là, à vous de trouver une charcuterie française comme le Domaine Picard par exemple pour déguster de la charcuterie de qualité et moins riche en calories et d’essayer de procéder de la même façon systématiquement.
Glucides et féculents
Autre exemple, celui des glucides. Ils représentent un marché particulièrement important en France. Diminuer les aliments au goût sucré et les grignotages au profit de la réappropriation de la préparation culinaire maison part du bon sens. Transformés à de multiples reprises, les aliments à forte teneur en sucre de l’industrie n’ont pas le même impact sur votre corps ; il faut donc idéalement cuisiner au lieu d’acheter toujours plus du pré-fabriqué.
Par contre, les féculents ont une réputation fausse de faire grossir. C’est bien plutôt l’accompagnement de sauce qui n’aide pas à faire perdre du poids. Commencez par regarder votre assiette dès le matin et tournez-vous vers des glucides complexes qui vous apportent la sensation de satiété.
Les apports en protéines, toujours essentiel pour manger autrement !
Si les protéines d’origine animale restent justifiées, c’est parce qu’elles restent indispensables au bon fonctionnement de l’organisme. Si votre régime alimentaire se tourne vers le végétarisme ou même le véganisme, songez à vous faire accompagner par des professionnels de la diététique et de la nutrition. Notez que la restriction protéinée dans le cadre d’une alimentation hypocalorique pourrait entraîner une fonte musculaire.
Penser végétal, surveiller la cuisson et prendre du plaisir
Pas de doute, les légumes peuvent être consommés à volonté en raison de leur faible apport en calories. De la même manière et souvent associée, la cuisson vapeur vous va bien plus que l’usage de la cuisine au beurre ou les fritures. Toutefois, gardez le plaisir de la table, ne vous interdisez pas tout, c’est généralement ce que vous diront les nutritionnistes. Le chocolat par exemple, ce n’est pas forcément mauvais à petites doses bien calibrées 🙂
Les fibres, les apports hydriques et les oligo-éléments pour manger de manière différente
Dans les végétaux, vous avez des fibres ; un intérêt tout particulier leur est consacré dans les cas de ralentissements du transit. Ils permettent en outre une stabilisation glycémique. Les oligo-éléments, eux, sont complémentaires aux apports en vitamines et minéraux. Penser fruits frais, crudités ou encore compote sera parfaitement bénéfique.
Les apports hydriques et l’eau dans tout ça ? Un bon moyen d’induire la sensation de satiété dans bien des cas ! A ce titre, les sportifs utilisent l’eau pour leur organisme et favorise son drainage. Regardez à ce titre les eaux hyper minéralisées pour la récupération. L’alcool en revanche n’est pas conseillé, apportant déséquilibre alimentaire et calories en plus des désagréments liés à ce type de produit. Pensez toujours à consulter un diététicien nutritionniste pour des questions d’alimentation.
C.S